Corrida: colombia da un paso adelante, ¿qué países aún la mantienen ?

La corrida de toros, una antigua tradición arraigada en la historia de muchos países, está sometida hoy a acalorados debates en todo el mundo. El 28 de mayo de 2024, se produjo un acontecimiento importante: Colombia prohibió oficialmente la corrida, anticipando un cambio cultural y social importante. En este artículo, exploraremos esta cuestión desde diferentes ángulos.

El fin de la corrida en Colombia

Un voto decisivo para el cambio

La Colombie a franchi une étape significative le 28 mai 2024 en interdisant la corrida, mettant fin à une pratique longtemps enracinée dans leur culture. Cette décision a été votée par le Parlement colombien avec une majorité écrasante de 93 voix pour contre seulement deux voix contre.

Anuncio oficial y futuro de las plazas de toros

L’annonce officielle de l’interdiction a été faite à l’arène Santamaria de Bogotá, symbole historique de la tauromachie en Colombie. Sous les applaudissements des défenseurs des droits des animaux et d’autres citoyens engagés, le président Gustavo Petro a célébré cette avancée majeure.

Après ce grand pas vers un futur dénué de maltraitance animale, il est essentiel d’envisager son impact sur la société colombienne.

El impacto del prohibición en la sociedad colombiana

Cambio cultural y nuevas oportunidades económicas

L’interdiction de la corrida représente un grand changement culturel pour la Colombie. Toutefois, les arènes seront réaménagées pour d’autres événements culturels et sportifs, offrant ainsi une nouvelle vie à ces espaces historiques.

Creación de empleos alternativos

Entre autres défis économiques, des emplois alternatifs doivent être créés pour ceux dont le gagne-pain dépendait de ces activités. La période de transition jusqu’en 2027 permettra une réorganisation efficace.

Au-delà de l’impact sur la société colombienne, cette décision représente un tournant historique pour la protection animale.

Un giro histórico para la protección animal

El reconocimiento del bienestar animal

La décision de la Colombie s’inscrit dans un mouvement plus large visant à renouveler les perceptions concernant le bien-être animal. En effet, au fil du temps, la corrida a suscité des critiques croissantes et est désormais considérée par beaucoup comme une forme de torture.

Otras naciones toman nota

Cette avancée significative en Colombie pourrait encourager d’autres pays à suivre leur exemple. Ainsi, malgré sa longue histoire avec la corrida, l’Espagne et d’autres nations pratiquant encore cette tradition pourraient être incitées à envisager des réformes similaires.

Avec ce progrès notable dans le domaine de la protection animale, il convient d’examiner quels sont les pays où la corrida est toujours pratiquée.

Los países donde la corrida aún se practica

¿Quiénes continúan con la práctica ?

Actuellement, seuls sept pays maintiennent cette tradition controversée : le Pérou, le Mexique, l’Équateur, le Venezuela, le Portugal, l’Espagne et la France. Ils représentent ainsi les derniers bastions de ce spectacle qui soulève de plus en plus de controverses.

Cependant, il convient de noter que même au sein de ces pays, la situation n’est pas uniforme. En Espagne et en France par exemple, certaines régions ont déjà interdit ou limité la pratique.

La situación de la corrida en España y Francia

Diferencias regionales en España y Francia

Bien que l’Espagne soit généralement associée à la corrida, il existe des différences significatives entre les régions du pays. Certaines ont déjà interdit ou limité cette pratique. Il en va de même pour certaines régions françaises.

En parallèle aux débats culturels et éthiques entourant la corrida, il convient également d’examiner son impact économique dans les régions pro-corrida.

Análisis económico de las regiones pro-corrida

Economía taurina: un sector a tener en cuenta

Hormis les questions d’éthique et de bien-être animal, l’économie liée à la tauromachie constitue un autre aspect important du débat sur la corrida. Dans certaines régions, cette tradition a un impact économique majeur, générant des emplois et des revenus significatifs.

La transición hacia una economía sin corridas

Dans le contexte de l’interdiction progressive de la corrida, il est crucial d’envisager des alternatives viables pour les personnes dont le travail est lié à cette activité. La création d’emplois alternatifs et le développement d’autres secteurs culturels peuvent contribuer à atténuer l’impact économique de ces changements.

En plus du débat sur la corrida en elle-même, il y a aussi une forte opposition à cette pratique dans plusieurs pays.

Los movimientos de oposición a la corrida en el mundo

Oposición creciente a nivel global

Around the world, there has been an increasing opposition to bullfighting. Animal rights movements and a growing portion of the population now consider it as a form of torture. This wider movement pushes for the renewal of perceptions regarding animal welfare.

Ce mouvement mondial pourrait bien être le signe d’une tendance globale anti-corrida.

Hacia una tendencia mundial anti-corrida

Un cambio de conciencia colectiva

Cette évolution vers une interdiction globale de la corrida reflète un changement de conscience collective concernant le traitement des animaux. Favoriser une vision plus éthique du bien-être animal semble être désormais un objectif partagé par de nombreuses nations.

L’interdiction de la corrida en Colombie représente un moment crucial dans ce débat entre traditions culturelles et valeurs éthiques contemporaines. Dans un monde de plus en plus conscient des droits des animaux, la Colombie offre une voie à suivre vers un futur sans torture animale. La pression continue sur les pays toujours attachés à cette tradition pourrait bien mener à des réformes similaires dans un avenir proche.